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Le business aujourd’hui ne peut se faire qu’à la condition de changer et renouveler toutes les méthodes de réflexions et d’actions. Nous devons nous forcer à réfléchir d’une manière novatrice sur la façon de « collaborer » avec ce nouveau monde, devenu inattendu et imprévisible. N’ayons donc pas peur de dire des stupidités. Osons même les entendre. Métissons les équipes. Arrêtons de chercher dans les études la même chose que nos concurrents, faisons appel à l’intuition. Soyons sincères.
Créé par Michel Hébert, No-Logic consulting propose une approche nouvelle et ancre sa méthode sur l’expérience et une philosophie du business éprouvées.
La pensée No-Logic s’articule autour de 8 piliers fondamentaux :
1. Trouver différent et non simplement juste
No-Logic consulting propose non plus simplement de trouver juste mais de trouver différent. En effet, l’auteur philosophe Charles Andy souligne que « Si j’entends un raisonnement juste, je me dis que tout le monde peut dire la même chose et j’ai tendance à m’en méfier ». Il faut dès lors oser dire les stupidités, oser les entendre car de ces stupidités naissent bien souvent de grandes idées.
La philosophie No-Logic consulting impose de tout challenger, il n’existe dès lors pas de méthodes No-Logic consulting mais un état d’esprit qui doit s’adapter à l’écosystème de chaque entreprise pour l’aider à trouver différent. Le métissage des équipes et le mélange des expertises constituent ensemble une base essentielle pour trouver différent.
2. Faire confiance à l’intuition et s’affranchir des études de marché
Une étude de marché trouve … la même chose que celle du concurrent. L'intuition ouvre les esprits, la logique les ferme.
3. Garantir l’objectivité des solutions No-Logic grâce à son indépendance
No-Logic n’est liée à aucun groupe financier, qui pourrait influencer sur son indépendance.
4. S’affranchir des résistances à la nouveauté
Les résistances aux changements sont nombreuses dans les entreprises et les consultants No-Logic doivent s’efforcer de les combattre.
5. S’approprier des solutions
Le consultant No-Logic, doit engager une interaction avec ses interlocuteurs, dans le but de faire naître de nouvelles solutions, dans le but d’amener chaque individu à réaliser lui même qu’il doit changer sa façon de penser.
6. Etre pragmatique
Les budgets sont des signes stratégiques forts. Il faut les intégrer dés le départ de la réflexion. Les budgets conditionnent les ambitions, les stratégies, et la vitesse de réalisations des objectifs.
7. Ne rien déléguer
Chez No-Logic, le consultant accomplit l’intégralité de la mission sans déléguer à l’extérieur une quelconque partie de son observation, de son analyse et de sa réflexion.
8. Chercher en provenance d’ailleurs
Nous sommes convaincus que seule la connaissance permet la mobilité de l’esprit. Nous sommes donc des « fournisseurs de culture », une culture qui autorise et favorise les croisements de pensée, la compréhension et l’imagination.
A propos de Michel Hébert :
Michel Hébert crée, en 1984, Jump France, agence de communication régionale à l’origine, devenue la dixième agence de communication française. Jump France choisie par TBWA France s’impose très vite comme la deuxième enseigne forte du groupe. Histoire unique dans la communication, Michel souligne que « démarrer une entreprise en ‘région’ dans un métier très parisien et arriver dans les 10 premiers groupes de communication, est incroyable ». En 2009, lorsque Michel quitte Jump France, elle est devenue célèbre pour ses campagnes Groupama avec Cerise, Pierre Martinet l’intraitable traiteur, Justin Bridou ou les lancements de Neuf Telecom, Yahoo, Century 21, Aoste…) et compte 300 collaborateurs. En janvier 2010, Michel devient vice-président de TBWA France. Il quitte le groupe début 2011 pour lancer No-Logic (tout en restant conseiller du groupe) et publie son dernier livre intitulé « Le marketing et la communication face à l’imprévisible » aux éditions L’Harmattan. Entrepreneur dans l’âme, Michel entend désormais se consacrer à sa société No-Logic consulting et faire profiter aux entreprises de son expertise significative façonnée par 30 ans d’expérience professionnelle et déjà trois livres : ‘Raisonner Métis’ et ‘Les 10 nouveaux défis majeurs pour le marketing et la communication’ (éd. Maxima) ainsi que ‘La publicité est-elle toujours l’arme absolue ?’ (éd. Liaisons).
Créé par Michel Hébert, No-Logic consulting propose une approche nouvelle et ancre sa méthode sur l’expérience et une philosophie du business éprouvées.
La pensée No-Logic s’articule autour de 8 piliers fondamentaux :
1. Trouver différent et non simplement juste
No-Logic consulting propose non plus simplement de trouver juste mais de trouver différent. En effet, l’auteur philosophe Charles Andy souligne que « Si j’entends un raisonnement juste, je me dis que tout le monde peut dire la même chose et j’ai tendance à m’en méfier ». Il faut dès lors oser dire les stupidités, oser les entendre car de ces stupidités naissent bien souvent de grandes idées.
La philosophie No-Logic consulting impose de tout challenger, il n’existe dès lors pas de méthodes No-Logic consulting mais un état d’esprit qui doit s’adapter à l’écosystème de chaque entreprise pour l’aider à trouver différent. Le métissage des équipes et le mélange des expertises constituent ensemble une base essentielle pour trouver différent.
2. Faire confiance à l’intuition et s’affranchir des études de marché
Une étude de marché trouve … la même chose que celle du concurrent. L'intuition ouvre les esprits, la logique les ferme.
3. Garantir l’objectivité des solutions No-Logic grâce à son indépendance
No-Logic n’est liée à aucun groupe financier, qui pourrait influencer sur son indépendance.
4. S’affranchir des résistances à la nouveauté
Les résistances aux changements sont nombreuses dans les entreprises et les consultants No-Logic doivent s’efforcer de les combattre.
5. S’approprier des solutions
Le consultant No-Logic, doit engager une interaction avec ses interlocuteurs, dans le but de faire naître de nouvelles solutions, dans le but d’amener chaque individu à réaliser lui même qu’il doit changer sa façon de penser.
6. Etre pragmatique
Les budgets sont des signes stratégiques forts. Il faut les intégrer dés le départ de la réflexion. Les budgets conditionnent les ambitions, les stratégies, et la vitesse de réalisations des objectifs.
7. Ne rien déléguer
Chez No-Logic, le consultant accomplit l’intégralité de la mission sans déléguer à l’extérieur une quelconque partie de son observation, de son analyse et de sa réflexion.
8. Chercher en provenance d’ailleurs
Nous sommes convaincus que seule la connaissance permet la mobilité de l’esprit. Nous sommes donc des « fournisseurs de culture », une culture qui autorise et favorise les croisements de pensée, la compréhension et l’imagination.
A propos de Michel Hébert :
Michel Hébert crée, en 1984, Jump France, agence de communication régionale à l’origine, devenue la dixième agence de communication française. Jump France choisie par TBWA France s’impose très vite comme la deuxième enseigne forte du groupe. Histoire unique dans la communication, Michel souligne que « démarrer une entreprise en ‘région’ dans un métier très parisien et arriver dans les 10 premiers groupes de communication, est incroyable ». En 2009, lorsque Michel quitte Jump France, elle est devenue célèbre pour ses campagnes Groupama avec Cerise, Pierre Martinet l’intraitable traiteur, Justin Bridou ou les lancements de Neuf Telecom, Yahoo, Century 21, Aoste…) et compte 300 collaborateurs. En janvier 2010, Michel devient vice-président de TBWA France. Il quitte le groupe début 2011 pour lancer No-Logic (tout en restant conseiller du groupe) et publie son dernier livre intitulé « Le marketing et la communication face à l’imprévisible » aux éditions L’Harmattan. Entrepreneur dans l’âme, Michel entend désormais se consacrer à sa société No-Logic consulting et faire profiter aux entreprises de son expertise significative façonnée par 30 ans d’expérience professionnelle et déjà trois livres : ‘Raisonner Métis’ et ‘Les 10 nouveaux défis majeurs pour le marketing et la communication’ (éd. Maxima) ainsi que ‘La publicité est-elle toujours l’arme absolue ?’ (éd. Liaisons).
